Le référencement naturel est à un carrefour : Google, longtemps indétrônable, voit son hégémonie chatouillée par l’avènement des moteurs conversationnels et des IA génératives. ChatGPT, Perplexity, Claude, DeepSeek...
Ces nouveaux venus redistribuent les cartes : la visibilité en ligne ne repose plus seulement sur la première page de Google, ni sur des pages remplies de mots-clés et de backlinks savamment acquis. Le Generative Engine Optimization (GEO) s’impose comme la prochaine étape du référencement, celle qui assure à votre marque de ne plus être seulement “trouvée”, mais bel et bien “citée” dans les réponses élaborées par l’intelligence artificielle.
Prêts à sortir du lot ? On décortique pour vous ce que GEO change concrètement et comment bien s’y préparer dès aujourd’hui.
Soyons honnêtes : la majorité des entreprises ont appris à jouer avec les règles du SEO traditionnel. Balises, netlinking, contenus longs... tout cela fonctionne, mais la partie se complexifie. En 2025, près de 6,5 % du trafic organique mondial provient déjà de moteurs IA – on parle de 14,5 % d’ici 2026, ce qui n’est plus du tout une niche (cf. Skale, juin 2025). Les nouvelles générations, elles, ne jurent (presque) que par la recherche conversationnelle : pas de clics, peu de scroll, encore moins de patience. Elles veulent une réponse, claire, nette... et tout de suite.
Google garde certes encore 89,79 % du marché des moteurs de recherche, mais le terrain glisse sous ses pieds : entre les requêtes sans clic (“zero-click searches”) et les “AI Overviews” (ces synthèses de réponses générées instantanément), la notion même de trafic web se redéfinit. Et quand 52 % des sources citées dans ces synthèses AI proviennent du top 10 Google (source : AIOSEO, 2025), il y a une double bataille à mener.
Une page optimisée SEO vise à attirer un maximum de clics. Du textuel dense, souvent long, parfois trop. GEO, lui, repense la donne :
Mais attention, l’enjeu n’est pas de jeter le SEO par la fenêtre – il reste la fondation technique indispensable. Le GEO s’y greffe, il ne le remplace pas.
Les moteurs IA ne feuillettent plus vos pages, ils les scannent, extraient, synthétisent et relient entre elles les notions-clés. Le secret : la clarté, la structure, la capacité à exprimer une expertise reconnue. Un contenu qui flotte ou qui manque de profondeur ne sera pas seulement mal classé… il restera invisible.
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. Les robots – et les IA – savent alors où chercher l’essentiel.Tout l’enjeu : aider la machine à faire le tri et à comprendre, sans jamais oublier qu’un humain peut aussi lire vos pages – et, potentiellement, devenir client.
Automatiser la création de contenus SEO, c’est vital – mais pas question de tout laisser tourner en boucle IA sans vérification humaine. Un outil comme Ortégo (développé spécifiquement pour Webflow) permet de générer des articles ciblés, connectés à l’actualité, tout en restant fidèle au ton, au positionnement et aux besoins de votre marque. Il pose la première couche – à vous de la personnaliser pour apporter la vraie valeur métier. La synergie IA + expertise humaine fait des miracles : sur une étude de 744 articles, un contenu enrichi par l’humain génère 5 à 8 fois plus de trafic que du 100 % génératif (Passionfruit, 2025).
Vous souhaitez piloter ce workflow GEO ? Découvrez Ortégo par ici : https://mirax.fr/ortego/ia-generatrice-article-seo
Quand une IA répond à la place de Google, tout se joue différemment : il faut non seulement exister, mais aussi être reconnu comme source fiable au sein des modèles génératifs.
Se lancer dans le GEO, ce n’est pas une histoire d’outils magiques ou de promesses fumeuses. Tout part d’un audit sérieux, d’une compréhension du métier et d’une stratégie éditoriale solide. Chez Mirax, on met à profit notre savoir-faire technique et éditorial sur Webflow et API pour structurer, automatiser et personnaliser votre référencement nouvelle génération.
Chaque entreprise possède des problématiques uniques, des angles d’expertise à mettre en valeur. Le GEO, c’est l’opportunité de transformer cette expertise en visibilité nouvelle – à la fois dans la recherche classique et dans les IA conversationnelles.
Le Generative Engine Optimization, ce n’est plus un buzzword marketing : c’est une réalité qui s’installe, doucement mais sûrement. Passer à côté serait une erreur stratégique. La bonne posture ? Tester, structurer, produire, ajuster — et garder un regard critique sur ce que l’IA cite, extrait, comprend… ou oublie totalement. Vous voulez prendre de l’avance, ne pas rater le coche ? Discutons-en ensemble.
Découvrez notre approche GEO sur mesure ou lancez un audit : contactez Mirax – et maximisez (enfin !) la portée de vos contenus dans l’ère de l’IA conversationnelle.